Archives de
Category: Toulouse

Sujets généraux concernant l’ensemble de la commune

Spectacle de rue : LE GARDIEN DU TEMPLE

Spectacle de rue : LE GARDIEN DU TEMPLE

du 1er au 4 novembre 2018,

D’incroyables animaux vont déambuler dans les rues de Toulouse. Incroyables par leur nature légendaire mais également par leur taille. Le spectacle mettra en effet en scène une machine monumentale, le Minotaure, haute de 14 mètres, constituée d’acier, de bois et de cuir et soufflant eau et feu, et araignée géante. Ensemble, ils réinterpréteront le mythe d’Ariane.

Le choix du Minotaure s’est imposé naturellement à la compagnie La Machine. Il s’appuie sur certains éléments symboliques de l’histoire toulousaine et fait appel à des valeurs et à un imaginaire commun propre à la métropole de l’Occitanie. Le Minotaure allie la puissance de l’animal à la sensibilité de l’homme. Il se pose ici comme le protecteur de la ville, son gardien. Il symbolise également l’attachement de Toulouse à son histoire et son ouverture sur le monde artistique et technologique.

Conçu sous la forme d’un récit d’épopée, le spectacle se déroulera pendant quatre jours de performance théâtrale dans le centre historique de la ville, véritable labyrinthe naturel dont les quartiers se transformeront pour l’occasion en de véritables scènes de théâtre. Le premier jour sera celui de l’apparition des machines. Les jours suivants, ponctués chacun de trois scènes, verront évoluer les machines dans l’espace public en plein cœur de la ville : rues, places, boulevards…

Retrouvez ici le programme

de ces 4 jours, complètement fous

Attention cependant aux problèmes de circulation et stationnement ….

Toutes les infos ici

 

Le choix dans la gestion de l’EAU : Privé ou Public ? VOTEZ

Le choix dans la gestion de l’EAU : Privé ou Public ? VOTEZ

Le collectif Ô Toulouse Métropole, initié par Eau Secours 31 et qui regroupe des associations, syndicats et citoyen(ne)s dont l’UCQ et le CQL, milite depuis des mois pour l’organisation d’un débat public suivi d’un référendum, ce qui a été refusé par le président de la métropole Mr Moudenc. Toutes les associations sont conviées à organiser des débats publics sur la gestion de l’eau et de l’assainissement.

UNE PÉTITION A SIGNER EN LIGNE :    https://eautoulouse.fr/

L’article L1112-6 du Code général des collectivités territoriales (lien) indique si 20% des électeurs inscrits sur les listes électorales le demandent, l’organisation d’une consultation citoyenne sur une question doit être mise à l’ordre du jour du prochain conseil municipal. Ainsi, le collectif Ô Toulouse Métropole lance la pétition ci-dessus pour qu’une consultation soit organisée par la Ville de Toulouse et les autres communes de la métropole sur la question :
« Pour l’exploitation des services publics de l’eau potable, de l’assainissement collectif et non collectif et la gestion des eaux pluviales urbaines, souhaitez-vous pour Toulouse Métropole un mode de gestion public ? »

Faites circuler ce lien : https://eautoulouse.fr/

Pour signer, il suffit d’être inscrit sur les listes électorales d’une commune de la métropole. Il est important de signifier aux conseils municipaux que nous souhaitons l’organisation d’une consultation citoyenne sur le choix entre privé et public pour la gestion de l’eau potable et de l’assainissement.

À la Corse les touristes et à Toulouse leurs déchets !!!

À la Corse les touristes et à Toulouse leurs déchets !!!

Grâce à l’association Saint-Simon Environnement, nous avons appris lors de la dernière coordination de l’UCQ, qu’un marché a été accordé par le Syvadec, organisme public chargé du traitement des déchets en Corse, avec Veolia Propreté, l’exploitant à travers sa filiale SETMI de l’usine d’incinération des ordures ménagères de Toulouse Le Mirail, pour que cette dernière incinère 20 000 t par an d’ordures ménagères corses pendant 3 ans.

Revue de presse :
– 23/09/2018, France 3 Corse : « Que deviendront les déchets résiduels corses traités sur le continent ? »
– 23/09/2018, Le Parisien : « La Corse va « exporter » ses déchets sur le continent »
– 21/09/2018, France 3 Occitanie : « Occitanie : bientôt 43 000 tonnes d’ordures corses traitées à Nîmes, Perpignan et Toulouse ? »
– 20/09/2018, L’info durable : « Deux offres retenues pour l’exportation de déchets corses sur le continent » (dépêche AFP)
– 31/08/2018, Ouest-France : « Haute-Corse. Le centre d’enfouissement de déchets toujours bloqué »
– 20/06/2018, La Dépêche : « Déchets : la Corse investit dans le compostage pour en finir avec le « tout enfouissement » »

En Corse, l’exécutif a renoncé en 2010 à tout projet d’incinération des déchets qui doivent donc être enfouis. Le tri sélectif fonctionne mal et 80% des 220 000 t par an de déchets doivent être enfouis sur l’île. Il y avait 4 centres d’enfouissement des déchets. Celui de Tallone (Haute-Corse) a fermé ses portes après avoir atteint sa capacité maximale en juin 2015 (lien). Puis le centre de Vico (Corse du Sud) est arrivé à son tour à saturation et a fermé en mars 2017 (lien). Il ne reste plus que 2 centres d’enfouissement des déchets, celui avec un exploitant public de Prunelli-di-Fiumorbu (Haute-Corse) et celui de Viggianello (Corse-du-Sud) dont les capacités autorisées ont été augmentées. L’exploitant privé du centre de Viggianello a proposé de créer un second centre d’enfouissement sur la commune, ce que l’exécutif corse a refusé puisque l’Etat et le Sydavec (organisme public chargé du traitement des déchets en Corse) s’étaient engagés au contraire à fermer le site après 2020. En 2016, face à l’opposition à tout nouveau centre d’enfouissement, l’exécutif corse lance un plan basé sur le tri à la source pour supprimer 60% des déchets à enfouir d’ici 2021, notamment à travers la création d’unités de compostage des biodéchets qui représenteraient 20-30% des déchets à enfouir. Une plateforme de compostage a été ouverte sur le site de Viggianello en juin dernier pour traiter 1 200 t par an de déchets verts et de biodéchets. D’autres plateformes de compostage sont en projet sur l’île. Au printemps dernier, les 2 derniers centres d’enfouissement ont été bloqués. Celui de Viggienello a rouvert avec une capacité augmentée en juin dernier par le préfet à 71 500 t par an (la capacité initiale était de 45 000 t par an). Mais celui de Prunelli-di-Fiumorbo est encore filtré par des élus et des habitants qui refusent le surplus de déchets.

Le 20 septembre dernier, le Sydavec annonce avoir retenu des offres pour le traitement sur le continent d’au plus 83 000 t par an de déchets corses pendant 3 ans : 40 000 t enfouies à Le Vigeant (Vienne) par Séché environnement, 15 000 t traitées à Perpignan par TIRU, 8 000 t traitées à Nîmes par Veolia et 20 000 t incinérées à l’usine de Toulosue Le Mirail par Veolia. Le prix moyen de traitement serait de 108 € HT / t hors coût de mise en balle et de transport. Les dossiers ont été transmis à la collectivité de Corse et à l’Etat « pour la suite de la procédure administrative avec les territoires susceptibles d’accueillir ces déchets ». Et il reste à définir les tonnages de déchets traités chaque année hors de la Corse et le marché de transport vers les sites de traitement retenus, pour étudier le co-financement des surcoûts générés par l’exportation.

Concernant la situation locale, le traitement et la valorisation des déchets ménagers sont confiés par 8 EPCI, dont Toulouse Métropole et le SIcoval, à un syndicat mixte, DECOSET (LIEN), créé en 1993 et présidé par Marc Péré (maire L’Union et 8e vice-président de Toulouse Métropole). En 2008, la compétence élimination et valorisation des déchets est passée des communes concernées à la Communauté d’agglomération du Grand Toulouse devenue en Communauté urbaine du grand Toulouse, qui a adhéré en 2009 du syndicat mixte DECOSET pour cette compétence.

Le DECOSET a confié l’exploitation et l’entretien
– de l’usine d’incinération de Toulouse Le Mirail, mise en service en 1968, dont la production d’électricité, d’eau chaude et de vapeur haute pression, à la société SETMI (Société d’exploitation thermique du Mirail), filiale de Veolia Propreté, par un contrat de concession entré en vigueur en septembre 2007 pour 14 ans (jusqu’à août 2021) : LIEN
– de l’usine d’incinération de Bessières, mise en service en 2001, à la société Econotre (filiale de Suez) : LIEN

D’après le rapport annuel 2017 sur le prix et la qualité du service public d’élimination des déchets de Toulouse Métropole  :
228 000 t de déchets de Toulouse Métropole (dont 217 000 t d’ordures ménagères) ont été incinérés en 2017 : 165 000 t à l’usine d’incinération de Toulouse Le Mirail (capacité autorisée = 330 00 t par an) et 63 000 t à l’usine d’incinération de Bessières (capacité autorisée = 170 000 t par an). D’après la SETMI, en 2017, l’incinérateur de Toulouse Le Mirail a traité 287 023 t de déchets (lien), qui provient donc aussi d’autres sources que Toulouse Métropole (165 000 t). Il y a donc potentiellement une capacité de traitement d’environ 40 000 t par an de déchets par rapport à la capacité autorisée.

L’usine d’incinération (aussi appelée UVE ou unité de valorisation énergétique) de Toulouse Le Mirail est une installation classée, non Seveso, suivie par la DREAL : LIEN. Il y a une commission de suivi de ce site qui comprend des représentants d’associations, dont l’association Saint-Simon Environnement : LIEN. Sur le site de cette association, vous pouvez trouver les comptes-rendus de la commission de suivi de site par Gilbert Calès qui y représente l’association : LIEN. Ce dernier a alerté sur France 3 Corse que plus il y a de déchets incinérés par la SETMI, plus il y a de pollution de l’air (lien). Atmo Occitanie publie des rapports mensuels et annuels sur la qualité de l’air à proximité de l’incinérateur de Toulouse Le Mirail :LIEN

Travaux chemin de l’église de Lalande -1er semestre 2017

Travaux chemin de l’église de Lalande -1er semestre 2017

Le C.Q.L. a étudié avec le Pôle Territorial Nord et Monsieur ARSAC, une solution aux problèmes actuels de circulation et de stationnement de ce chemin, tout comme il l’a fait avec le chemin des vieilles écoles.

Cette solution, sera également en test pendant 1 an, pour améliorer au fur et à mesure ce qui peut l’être, avant que le marquage ne soit effectué en dur.

informations-riverains-chemin-de-leglise-de-lalande-1

 

 

informations-riverains-chemin-de-leglise-de-lalande-2

Toulouse Nord, secteur 3

Toulouse Nord, secteur 3

Le C.Q.L. s’est rendu le 20 septembre dernier à une réunion portant sur le diagnostic et les enjeux du secteur Nord dans le cadre de l’étude menée par le Cabinet INterland,

Le document dont le lien suit,  nous a été présenté en séance, et envoyé très récemment par la Ville.

 

toulouse-secteur-3-diag-enjeux-pr_sentation-assos

 

nous souhaitons que vous en preniez connaissance et que vous nous contactiez dans le cas où vous seriez intéressé par le sujet.

Associativement vôtre,

 

Participation citoyenne contre les cambriolages

Participation citoyenne contre les cambriolages

Sur Toulouse, 1280 cambriolages ont été perpétrés sur le premier trimestre 2016, soit +6,7 % par rapport à 2015 selon le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de Haute-Garonne.

 
Du coup, la Mairie de Toulouse a décidé de mettre en oeuvre le dispositif « participation citoyenne » dont l’objectif est d’améliorer la réactivité des forces de sécurité contre la délinquance.

 
La méthode sera présentée en Commission de Quartier et un appel à volontariat sera lancé, les personnes seront enregistrées par la Police Nationale et la Ville, elles auront un numéro de téléphone pour signaler les comportements suspects prémonitoires de cambriolages.

 
Pour le démarrage le dispositif est ciblé sur les cambriolages dans les zones pavillonnaires.

À la demande de la Mairie, le CQL lui a transmis une carte de Lalande sur laquelle apparaissent toutes les zones pavillonnaires.

Les habitants doivent adopter des actes élémentaires de prévention (surveillance mutuelle des habitations en l’absence de leurs occupants, ramassage de courrier, signalement à la Police Nationale des faits d’incivilités, de démarcheurs suspects…) et, sur la base du volontariat, se proposer référent d’un îlot et s’inscrire sur une fiche d’inscription des référents, ces fiches seront distribuées en Commissions de Quartier.

La Police Nationale assurera le suivi avec les référents et la Police Municipale participera également au dispositif.

Apparemment, le dispositif a porté ses fruits dans d’autres régions.

Jardiniers en Herbe, inscrivez-vous !

Jardiniers en Herbe, inscrivez-vous !

Il est encore temps pour les futurs jardiniers en herbe de s’inscrire pour obtenir une parcelle sur le jardin partagé de Ginestous.

Ce jardin ayant une superficie de 5500 m², il y aura environ 70 parcelles de disponible et pour le moment, il y a une trentaine de personnes inscrites.

Une visite du site est organisée le vendredi 21 octobre à 15h00 afin de voir comment il est actuellement aménagé et de discuter de sa future organisation.

Le jardin est situé à 50 mètres d’une maison placée au 80 Chemin de Ginestous.

Allez voir …………. pousser fleurs, légumes ou juste une envie de changer d’air.